Chanter pour réviser ses leçons, chanter sous sa douche, chanter aux mariages, chanter aux enterrements, chanter quand il est gai, chanter quand il est triste… et bien-sûr chanter sur scène avec ses potes musiciens ! Il ne sait faire que chanter...
Elle ne joue pas de piano debout, mais elle chante les yeux fermés. La musique est son sourire, alors quel plaisir d'intégrer le groupe ! La musique dans la peau, dans les mots (orthophoniste à ses heures perdues), sous la douche et maintenant sous les projecteurs.
Depuis toute petite, la musique fait partie de son quotidien. Elle a tenté la flûte traversière, le piano, la guitare... c'est dans le chant qu'elle s'est vraiment épanouie. Après 6 ans dans une chorale et avec l'envie de nouveaux défis, c'est en 2017 qu'elle intègre le groupe DQLVS.
Habitué aux duos avec son frère lors des fêtes familiales, il n’a pas résisté à l’appel de la scène afin de donner suite à l’aventure des Montagnards, même si sa guitare est désormais moins souvent de sortie...
Guitariste classique, élève de Pierre Lerich (ça en jette !), il découvre la guitare un soir d'été 76 à Fabrezan Corbières lorsqu'un gitan interprète quelques airs manouches devant le logement loué par ses parents. Inconditionnel de Django, Henri Salvador, de l'amitié et du partage.
Pour avoir flirté depuis sa plus tendre enfance avec les instruments de musique les plus répandus, accordéon diatonique, saxhorn basse, carillon et autres cromornes... c'est des sons graves et fondamentaux qu'il est devenu inconditionnel. Bassiste dans de multiples formations et styles depuis plus de trente années, c'est naturellement dans ce registre qu'il oeuvre dans DQLVS.
La musique dans sa famille, c'est depuis plusieurs générations....et tout naturellement Sarah a commencé à travailler le solfège et le piano avant même de savoir lire et écrire. Elle a continué ses études au CNR de Lille et enseigne le piano depuis ses 18 ans ... Elle a également appris à jouer de la flûte traversière, ce qui lui a permis de participer à la vie d'orchestre d'harmonie. Plus récemment, elle a intégré un groupe vocal et, depuis 2019, elle a découvert avec DQLVS le style variétés et elle s'éclate !
La musique, c'est presque son pain quotidien. Il en mange à tous les repas, à toutes les sauces, il lui arrive même d'en reprendre au dessert... Et il en redemande !
D'abord percussionniste, puis batteur, et maintenant claviériste, il est le plus jeune membre du groupe, et celui qui l'a intégré le plus jeune ! En pleine formation musicale, il découvre rapidement la scène avec DQLVS, et devient accro dès son premier pas sur les planches. Il est même prêt à jouer n'importe quel instrument pourvu que ce soit devant un public ...
Elle rêvait de jouer un jour « Il est cinq heures, paris s’éveille », c’est fait ! Et ses nombreuses interventions dans les différents programmes depuis quelques années apportent un véritable plus.
Si on disait tout simplement qu’il est né pour jouer de la guitare… Tout serait dit !
A l’arrière de la scène avec ses collègues de l’HMB, Blandine et François, il ravit les oreilles avec ses solos et accompagnements indispensables.
Présent dans la section cuivres du groupe depuis bon nombre d’années, il a rendu celle-ci incontournable tant pour des morceaux rythmés que pour des ballades nostalgiques.
Harmonica, accordéon diatonique, trompette, fifre… Tout ça pour un seul homme ! Mais sa spécialité est la cornemuse !
A bonne école avec son oncle… Il l’accompagne à la cornemuse, pour le bonheur de DQLVS, sur « le bagad de Lan Bihoué » et la « ballade nord-irlandaise ».
Habitué des quatuors à cordes, il a accepté de changer parfois de registre pour apporter au groupe une jolie teinte supplémentaire !
Après des années de bal avec Terminal 5, puis avec les Montagnards, il a été le premier claviériste de DQLVS, jusqu’à ce que le temps lui manque et qu’il tourne la page.
Depuis toute petite elle chantait avec ses sœurs … Qu’elle fasse partie des Montagnards fut une suite logique et une belle aventure !
Il a le rythme dans la peau. Il a tapé sur des tables, sur des casseroles, sur des fûts, sur sa caisse claire au carnaval… Et il a fait le bonheur des Montagnards avec sa batterie !